Collage # Ceci N’Est Pas Du Thon Rouge

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Depuis plusieurs mois, j’ai mis de côté mes petits découpages issus de ELLE, L’Express Styles et M le Magazine du Monde, autant d’images qui sont le miroir de notre société de l’abondance. Pour la COP21 et la sortie du film Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent, ces images assemblées donnent un peu à voir ce que nous avons aujourd’hui et ce que nous pourrions créer dès demain.

Pour répondre aux initiatives proposées par Demain, j’ai choisi de commencer la série de collages par un mélange de Sushi Shop et Petit Navire dont les réclames portaient sur la traçabilité de leur poisson. Partez à la pêche aux infos… voilà des termes que Claire Nouvian de l’association Bloom et Lamya Esemlali de Sea Shepherd n’hésiteraient pas à reprendre pour leur compte. A la question de l’origine des stocks de pêche s’ajoute celle de la pollution des mers et océans – le plastique en tête – et l’acidification des océans… Si ce dernier reste un phénomène peu concret pour vous, je vous invite à voir l’exposition « La mer n’en finit pas de monter » à l’initiative de Terra eco.

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Hors série ELLE aime la planète et ELLE du 27 novembre

Voilà un concentré de réflexions pour faire ma part. Que d’informations sur l’écologie, les ressources naturelles et les déchets en ces journées où le climat est à l’ordre du jour… à demain !

2 réflexions sur “Collage # Ceci N’Est Pas Du Thon Rouge

  1. Gigi Argaud dit :

    Je reconnais que la pollution des mers dont j’ai vu à la télé combien elle est importante, me pose problème quant à ma consommation de poissons. Je ne sais lequel acheter puisque cette pollution est générale! Les eaux douces ne sont pas préservées, donc me limiter à la truite de rivière est difficile, il faut être sur place pour pouvoir en bénéficier. Donc pour le moment, je ne sais que faire! Je dois remettre en cause tant de mes certitudes ou ignorances ! Gigi

    • thegreenwasher dit :

      Nous avons tous tant de certitudes ou d’ignorances ! Je vois toutefois 2 solutions, soit réduire considérablement la consommation de poissons et fruit de mer, soit choisir avec précaution (et au regard des labels) leur origine. Je suis sûre que la connaissance des modes de production et des circuits de distribution est la clé 🙂

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